Libérer la parole des collaborateurs et prévenir des situations de violences et de sexisme en entreprise a souvent un effet cristallisant, voire crispant pour les managers et RH. Ils s’interrogent parfois sur “comment aborder le problème” avec les équipes. Il faut parvenir à changer les habitudes au quotidien : plus tôt les solutions d’Ecoute des collaborateurs seront utilisées, plus il sera possible de prévenir ces risques.

Gérer des cas de harcèlement et de situations à risque en entreprise engendre des défis pour les managers et  RH

Rappelons d’abord qu’en la matière, comme pour toutes les problématiques de violence au travail, il faut distinguer les violences externes à l’entreprise et les violences internes à l’entreprise.
Les violences externes sont des violences exercées contre un salarié dans le cadre de son activité professionnelle, par un ou des individus extérieurs à l’entreprise (clients, fournisseurs, usagers, patients …) A l’inverse les violences internes sont des violences exercées contre un salarié par d’autres membres de l’entreprise ou par l’organisation elle-même. 
Dans ce cadre il faut ensuite rappeler que la situation particulière de crise sanitaire que nous vivons actuellement est une période ou les collaborateurs sont particulièrement exposés aux violences externes. Ainsi, plus que jamais, l’employeur a le devoir de prévenir les risques de violence au travail.
Si la situation sociale de l’entreprise fait craindre une crispation autour des violences internes il faut alors simplement rappeler à tous et à chacun l’importance des risques actuels de violences externes et, pour être cohérent, proposer une démarche globale de prévention qui permette de signaler toute situation de danger, quelle que soit sa nature et quelle que soit son origine.

Initier concrètement le changement au sein des organisations

Les choses doivent changer, et elles doivent changer maintenant ! Mais pour que les changements soient profonds, au delà d’un Document Unique, sans attendre un CSSCT, les changements doivent se traduire dans la réalité quotidienne des collaborateurs pour libérer la parole..
Il faut changer les habitudes de parole dans l’entreprise, au quotidien, jour après jour. Sinon, libérer la parole peut aussi se faire de façon explosive, la crise survient alors et si elle apparait utile une fois qu’elle a éclaté, il apparaitra encore plus clairement à chacun qu’il ne faut pas attendre d’en arriver là ! Les évolutions, les changements se font aussi au jour le jour, au quotidien, par une parole simplifiée.
Plus tôt les solutions d’Ecoute des collaborateurs seront utilisées et ancrées dans les habitudes, plus il sera facile de prévenir les risques de violence et d’éviter les situations de crise. Joel KADDOUR, Phd  R&D chez Zest

Instaurer une démarche de prévention pour libérer la parole avec Zest

Zest propose une approche globale et simplifiée de l’Ecoute des collaborateurs.
Nous avons vu comment il pouvait être utile de sonder spécifiquement les employés sur leur expérience et leur ressenti des Plans de Retours à l’Activité. Ici, nous souhaitons attirer votre attention sur un autre outil de la panoplie.

La fonctionnalité SOS

Un simple bouton de signalement, disponible à tout moment, sur lequel le collaborateur peut appuyer pour signaler une situation de danger. Le signalement d’un danger (pour soi ou pour quelqu’un d’autre) est immédiatement reçu par le destinataire choisi par l’entreprise (interne ou externe, cellule centralisée qui gère les alertes, …) . Le collaborateur peut ou non laisser un commentaire.

Simple, visible quotidiennement par chaque collaborateur à chaque fois qu’il ou elle souhaite communiquer son humeur, paramétrable. Son secret est simplement d’être là, tous les jours, ancré dans les habitudes de communication de chacun et restant en mémoire comme un message  “ au cas où, si j’en ai besoin, je ne suis pas seul.e,  je peux agir “.   

Joel KADDOUR, Phd  R&D chez Zest

👉 En savoir plus sur la fonctionnalité SOS de Zest

Une aide à la sensibilisation des collaborateurs sur l’obligation légale de la fonction RH

En favorisant une culture de la réponse rapide et en permettant une expression libre de la parole, le bouton d’alerte est un outil formidable d’aide à la sensibilisation des collaborateurs sur l’obligation légale de l’entreprise de mettre en place des procédures appropriées de recueil des signalements des comportements non éthiques.

Ils nous recommandent

Nous sommes fiers de faire partie des solutions que les RH doivent-elles mettre en place contre le harcèlement sexuel dans l’article de myRHline.

La première mission des ressources humaines, au delà de la sensibilisation, est de mettre en place en interne les outils nécessaires pour qu’une victime d’actes sexistes, homophobes ou racistes puisse en parler sans craindre d’être punie.

Des outils numériques existent pour cela comme Zest et sont d’une efficacité redoutable. Aucune entreprise n’a le droit de dire “je ne savais pas” à une époque où la technologie nous donne des moyens incroyablement simples pour savoir.

Gaël Chatelain-Berry, Expert du bien-être au travail  

Retrouvez l’intégralité de l’article « Affaire Ubisoft : quelles politiques RH mettre en place contre le harcèlement en entreprise ? » 

Soyez notifié des derniers articles de blog

C'est parti !

Rendez votre organisation plus épanouissante et performante !

Plus de ressources